« Le public n'a plus confiance dans la critique, mais il éprouve
toujours le besoin d'être guidé dans ses lectures. Malheureusement il y
a trop de prix. (...) Le public n'est qu'à moitié dupe de cette comédie
: il achète le volume couronné, mais il ne se croit pas tenu de suivre
l'auteur. (...) Encore ne lit-on pas ces ouvrages pour le plaisir de
les lire, mais pour pouvoir dire qu'on les a lus. »
"Comment on devient écrivain", d'Antoine Albalat, publié
initialement chez Plon en 1925, réédité en 1992 chez Armand Colin, mais
épuisé
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